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Chronique d'une ado: chapitre 4

 

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 Nom: Brown

                                                          Prénom:Noémie

                                                          Points Particuliers: I love mangas !!!!!! Je n'aime ni les                                                                 photos ni ma taille

                                                          En deux mots: Heu ........

                                                          Amies:Gwen,Lilou,Estelle.....

                                                          Age:15 Ans

 

Le lendemain, on était censés partir en vacances tous ensemble !!!!!! Maintenant que Gwen et Erwan sont ensemble, tous va pour le mieux dans notre petite bande. Je prend mon téléphone et appelle Estelle:

-Allô ?

-Coucou !!!

-Ah! Salut Noémie justement, je voulais t'appeler: Tu aurais une autre valise a me prêter STP ! 

-Encore !? Mais la Troisième !

-Pas grave !!! Dit sinon pourquoi m'as tu appeler ?

-Voila, ça fait plusieurs mois que je me pose des questions sur la fidélité de Peter.

Peter c'est mon ptit chou, mon amour bref mon mec ! 

-T'es pas sérieuse !!!! Il est sage comme une image et jamais au grand jamais il te tromperais.

-Ok ! Merci du conseil ! Je t'aime

-Moi aussi ma belle salut !

 

*Le lendemain*

 

-Nan mais chercher pas ! Sophie a prise trop de valises !!!

Tout le monde éclata de rire ! C'était un samedi ensoleiller et on essayer de faire rentrer les valises de Sophie dans le coffre. Après une demi-heure d’effort, tous le monde réussi a s'installer confortablement dans la Jeep. Peter était a côté de moi et me tenait la main. Il sais très bien que je suis malade en voiture. Arriver à Belle-Iles, tous le monde monte ses affaires s'installe. Puis après on est aller faire du shopping: il n'était que 16h00. Gwen est aller chez le coiffeur avec Lilou( résultat: Gwen a les cheveux tout plats =) et pendant ce temps là, moi et les autres nous avons acheter deux trois bricoles.

Après Gwen nous propose d'aller à la fête de la moisson. Elle se passera dans un champs avec tous ce qu'il faut comme en discothèque.

 

 

    

 

 

 

  

 


18/01/2013
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Chronique d'une ado: chapitre 3

 

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-Pourquoi tu t'est barrer ? tu l'aimais non ?
Et oui, contre toutes attentes je suis partie sans demander mon reste. Je sais c'est débile et complètement inconscient mais c'est comme ça.
-Je sais pas lilou (Liwane). Il m'a avouer ses sentiments comme ça sincèrement, ses yeux plonger dans les miens. Tu voulais que je fasse quoi ?
Arrête !!! Je te connaissait plus courageuse !
-Excuse moi mais j'ai un double appelle je te rappelle dans 5 minutes !
Sur ce je raccroche et repond a l'autre appelle.
-Allô ?
-Gwen laisse moi te parler ! S'il te plait !
Ooups ! C'était Erwan !
-Oui !
J'ai réussi à garder mon calme ! XD
- Face à face je suis devant chez toi. Descend please !
Je regarde par la fenêtre et le voit avec un paquet de barre aux chocolats dans la main. Mes préférés ! Arriver en bas on se regarde longuement, puis il s'approcha de moi, me prit dans ses bras et me dit "je t'aime". C'était si beau si fragile si fort ! Mon monde renaissait. L'homme que j'aimais avait les mêmes sentiments pour moi ! Alors je lui répondit "moi aussi depuis toujours !"
Et puis se qui devait arriver arriva: il m'embrassa !!!!!
Photo : Chapitre 21 :
	Il m’a regardé, il m’a souris et il m’a dit :
	E : Maëlle, je t’aime.
	C’était la première fois qu’il me disait LE «  je t’aime », celui qui signifie tout, celui qui montre que je suis l’élue de son cœur, il me restait plus qu’à lui avouer la même chose.
	M : Enzo, je t’aime.
	Son visage s’est illuminé, sa bouche s’est élargie en un sourire magnifique et il m’a embrassé avec une grande passion. Ensuite, on a parlé, on a joué aux « chatouilles ». Il m’a chatouillé sur le côté au-dessus des hanches, les dessous de pieds… Et j’ai fait de même. On bougeait dans ton les sens dans le lit, à droite, à gauche, jusqu’à ce que, je ne sais pas comment il a fait, Enzo se retrouve au-dessus de moi, son corps sur le mien. Il m’a observé longtemps, ses yeux verts plongés dans les miens, puis ses lèvres sont venues se coller aux miennes, ce baiser dura longtemps, très longtemps. On était tellement bien que quand il enleva ses lèvres, j’agrippai son dos et plaqua son torse contre le mien pour qu’il m’embrasse à nouveau, ce qu’il fit sans hésiter. Puis il s’enleva et on se remit face à face. Je commençais à m’endormir. Je fermai les yeux et j’entendis une voix me chuchoter à l’oreille :
	E : Bonne nuit mon ange.
	Et il me déposa un baiser sur le front et m’enlaça, je finis de sombrer dans le sommeil dans ses bras.
	Le lendemain, quand je me suis réveillée, je me suis demandée où j’étais. Je n’avais pas l’habitude de me réveiller ici. J’ai tourné la tête et j’ai vu Enzo. Je n’étais plus dans ses bras, je bouge beaucoup la nuit. Lui, est installé sur le dos et dort encore. J’ai donc une idée. Je me mets sur le côté gauche, je plie mon bras, je m’appuie dessus et je pose ma tête sur ma main. Puis, j’approche ma main droite de son torse et je déplie mon index pour le faire glisser le long de la ligne qui sépare ses pectoraux en continuant sur la ligne horizontal de ses tablettes de chocolat. Je descends mon index, puis je le remonte. Je suis absorbée par mon doigt et je n’ai pas vu Enzo se réveiller. Il me prend donc par surprise, me pousse de façon à ce que j’arrive sur le dos et atterrit sur moi, sur mon corps. Il me regarde fixement et j’en profite pour le prendre par surprise à mon tour, je l’allonge sur le dos et je me mets sur son corps. Avant qu’il ait pu tenter quoi que ce soit pour se débattre ou attaquer, je l’ai embrassé. Ce baiser était fougueux, bestial même. On y mettait tous les deux une intensité, une envie folle. Puis au moment où je m’y attendais le moins il m’a retourné sur le dos et est arrivé sur moi, mais l’on n’avait toujours pas arrêté le baiser. En continuant toujours notre baiser, on a effectué quelques roulades de ce genre et la dernière est tombée : lui sur moi. Au moment où il a voulu retiré ses lèvres, j’ai agrippé les siennes avec mes dents, il était coincé ! Il a essayé de parler, je n’ai rien compris, c’était tellement drôle, il avait tellement de mal. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire et j’ai donc lâché sa lèvre. Il s’est relevé et s’est retrouvé assis sur moi, il touchait sa lèvre et moi je riais encore. Il a vu que je continuais à rire, il s’est penché sur moi, a pris mes poignets, les a plaqués sur le matelas, a approché sa tête de la mienne et il m’a embrassé. Au moment d’enlever ses lèvres, il a agrippé les miennes avec ses dents, ça faisait légèrement mal. Ensuite, il a desserré ses dents et il m’a déposé un léger baiser sur le coin de la lèvre. Ensuite, avec un grand sourire, il m’a dit :
	E : Bonjour !
	M : Bonjour !
	E : Je vais me laver, regarde la télé si tu veux.
	M : Ok.
	Il est parti prendre sa douche et j’ai regardé la télé, puis j’ai regardé l’heure, il était midi, je ne devais pas trop tarder pour rentrer. Je me suis rhabillé et j’ai continué à regarder la télé en attendant Enzo. Puis, j’ai entendu le bruit d’une porte qui s’ouvre, il sortait de la salle de bain. Et là, il a passé le seuil de sa porte de chambre. Il était magnifique ! Il avait les cheveux mouillés, légèrement en pétard. Encore pas tout à fait sec, l’eau ruisselait sur son torse, faisait le détour par ses tablettes de chocolat. Une serviette était autour de sa taille. Et il entrait dans sa chambre comme ça, avec le sourire aux lèvres, ses dents magnifiquement blanches, ses yeux verts pétillant de bonheur et de joie me regardaient. Je lui souris. Je me levai, et me dirigea vers lui.
	M : Je dois y aller.
	E : Déjà ?
	M : Oui…
	E : Ok, je m’habille et je te raccompagne.
	M : D’accord.
	Il s’est habillé et on est partis, main dans la main, direction de ma maison.
	E : J’ai beaucoup aimé hier soir, cette nuit et ce matin avec toi.
	M : Moi aussi, énormément.
	E : Cet après-midi, on peut se voir ? 
	M : Oui.
	E : 15H ?
	M : Ca marche !
	On était arrivé chez moi. Je plaçais mes deux bras autour de son cou, appuyé sur ses épaules. Je pris mon poignet droit avec ma main gauche. Quant à lui, il entoura ma taille de ses bras. Il me regarda et il m’embrassa avec une grande tendresse. Puis, il partit et je rentrai chez moi. Ma mère est là et me demande comment ça s’est passé et si on était ensemble, je lui ai dit que « oui », et je suis monté dans ma chambre. Un peu avant 15H, je regarde par la fenêtre pour voir Enzo arriver. Je regarde une fois, deux fois, trois fois. A 15H15, il n’est toujours pas là, je l’attends. Puis, enfin il arrive. Il sonne, j’ouvre et on part direction le parc, main dans la main.
	E : Désolé d’être en retard, je, j’ai, j’étais..occupé.
	M : T’inquiète pas, tu faisais quoi ?
	E : Heu… Rien d’important.
	M : Beh dis-moi !
	E : Non, non, mais rien. Dis, tu vas au voyage scolaire en Espagne que propose le lycée ?
	M : Ouais, change de sujet… Oui, et toi ?
	E : Oui, ça va être cool !
	M : Oui.
	E : Tiens, on va s’asseoir sur ce banc.
	On va s’asseoir et là, gros choc…
MD.


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18/01/2013
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Chronique d'une ado: chapitre 2

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Et la le bus s’arrêta et il y a eu un grand brouhaha. Notre conversation se termina donc là. Tout le monde sorti du bus, moi la dernière. Je marchais  lentement  j’étais dans les nuages. 
- Gwen ça va ?
- …
- Qu’est ce qu’il y a ? Tu n’es pas avec nous, ta la tête ailleurs.
- Hum…non, non, ce n’est rien. Promis jten parle plus tard mais j'peux pas =(
-  Je peux peut-être t’aider.
- Ben… en fait avec Soso on a eu une discussion dans le bus tout à l’heure… mais elle ne veut que j’en parle à personne… désolé.
- Tiens en parlant d'elle, je trouve qu’elle est devenue étrange ces derniers temps.
- Sérieux ?! Tu l’as remarqué ?!
- Bah oui ! Sa se voit trop, elle essaye même pas de cacher le fait qu’elle aime Harry.
- QUOI !!!!!
- T’as l’air choqué...lol....mais t’inquiète je dit rien! 
- Put*n,ils iront trop bien ensemble.
Je n’eu le temps de réagir que Liwane nous appelais.
Matthieu nous dit :
- Bon et bien on va où maintenant ?
- …on peut aller aux lasers game sa vous dit ? proposa Estelle.
C’est avec un grand oui que l’on répondit tous !
On avançait, on rigolait et puis je me mis à ralentir car je voyais que Erwan était derrière. Je le trouvais trop beau dans sa chemise Hollister et sa démarche assurer. Puis je m’approchais de lui et le questionna :
- Bah alors Jérémy ! Tu as l'air embarasser!
- …hum…
- Tu sais s’il y a quelque chose qui ne va pas tu peux m’en parler.
- Je peux te confier quelque chose Gwen ? Sérieux? Tu gardes ça pour toi par contre.
- Oui
- Je t’aime Gwen… :$
- Q…qu…quo…quoi ?!
- …je ne voulais pas te le dire, car je sais qu’il s’agit d’un amour à sens unique.

 

Photo : Chapitre 36 :
	M : Morgane, Thibault s’est protégé ?
	Mo : Non.
	Elle venait juste de remarquer ce détail, elle a commencé à paniquer, elle pleurait. Je l’ai prise dans mes bras et j’ai essayé de la calmer.
	M : Bon, écoute-moi bien. Voilà ce que nous allons faire. On va aller à la pharmacie du coin qui est ouverte le dimanche prendre un test de grossesse et la pilule du lendemain.
	Mo : D’accord mais je ne me sens pas de demander ça, j’ai trop honte.
	M : Ce n’est pas grave, je vais le faire, ne t’inquiète pas.
	Morgane s’est calmée et nous sommes sorties dehors en direction de la pharmacie. J’ai dit à Morgane de m’attendre à l’extérieur, elle n’avait pas le courage d’y aller, je suis donc rentrée seule.
	Pharmacienne (P) : Bonjour !
	M : Bonjour !
	P : Que puis-je faire pour vous ?
	M : Heu… Heum…
	Holala, c’est extrêmement embarrassant…
	M : Alors voilà, je voudrais la pilule du lendemain et… et… un test de grossesse.
	La pharmacienne parût choquée.
	P : Heu… Oui, je vais vous chercher ça tout de suite.
	Elle est partie et est revenue quelques minutes plus tard avec ma commande.
	M : Merci, au revoir.
	P : Au revoir !
	A peine j’étais sortie de la pharmacie que Morgane m’a sauté dessus.
	Mo : Alors ? Ca s’est bien passé ?
	M : Oui, oui, ne t’inquiète pas. Allez viens, on rentre pour que tu prennes ta pilule.
	On est rentrées, Morgane a avalé sa pilule et ensuite je lui ai dit :
	M : Alors, ton test de grossesse fait-le dans environs une semaine, on verra si la pilule a fait effet.
	Mo : Maëlle, vraiment je te remercie. Tu as fait tout ça pour moi, je ne te remercierais jamais assez. 
	M : Mais derien. 
	Pendant la fin de journée Morgane me parla exclusivement de sa nuit avec Thibault, elle était extrêmement mal, elle avait besoin d’en parler. Elle a beaucoup pleuré et je l’ai aidé, je l’ai conseillé du mieux que j’ai pu. Vers 19H30, elle a décidé qu’il fallait qu’elle parte, sa mère lui avait dit de ne pas rester trop tard. Je lui ai fait un câlin, elle m’a dit « merci » et m’a demandé de garder ça pour moi, ce que j’ai bien sûr accepté. Ensuite je suis allé dans ma chambre faire mes leçons. Le téléphone a sonné, je pensais que c’était Morgane mais ma mère a répondu et elle a parlé longtemps alors ce n’était pas elle, j’ai donc continué mes leçons. Quelques minutes plus tard ma mère est apparue dans ma chambre, sans frapper, rien. Elle a ouvert ma porte violement. Son visage était sévère, choquée et en même temps, j’ai cru voir, légèrement énervé. Elle m’a dévisagé s’est approché de moi et a demandé à ce qu’on discute. Ca ne présage rien de bon…
	Ma : Maëlle, je viens d’avoir Christine, tu sais mon amie. 
	M : Heu maman tu as pleins d’amies qui s’appellent Christine.
	Ma : Celle que j’ai eu c’est celle de la pharmacie.
	Quoi ? Cette nouvelle m’a fait l’effet d’une bombe. Mais elle n’a pas le droit, ce n’est pas juste et ce n’est même pas pour moi ce que je lui ai demandé. Et puis de toute façon, elle n’est pas censée être tenue par le secret médical ? J’ai décidé de faire celle qui ne comprenait pas, celle qui était indifférente même si à l’intérieur je bouillonnais de colère. 
	M : Et ? Qu’est-ce que ça fait ?
	Ma : Elle m’a dit que tu étais allée à la pharmacie prendre la pilule du lendemain et un test de grossesse.
	M : Et ?
	Ma : Et ? Tu oses me dire « et » ? Ne fais pas l’indifférente Maëlle ! Je pensais que tu m’en parlerais la première fois que tu l’aurais fait ! Et que tu me dirais si tu avais eu un problème de contraception. Maëlle, tu me dis tout d’habitude !
	M : Bah la preuve que non. Pas sur ça.
	Ma : Bon, heu… Tu l’as prise cette pilule ?
	Je n’allais pas dire qu’elle n’était pas pour moi, j’avais promis à Morgane de garder le secret. Je devais jouer le jeu, pour Morgane.
	M : Oui.
	Ma : Et tu as fait le test de grossesse ?
	M : Non, pas encore.
	Ma : Fais-le.
	M : Non, je n’ai pas envie et puis, la pilule n’a sûrement pas eu le temps de faire effet.
	Ma : Qu’est-ce que tu peux être chiante !
	Et sur ces mots, elle est partie en claquant la porte. Je me sentais mal, très mal. Je mentais à ma propre mère. Elle devait sûrement penser que j’étais une fille qui couche avec tous les garçons en oubliant de se protéger mais le pire, c’est que je ne pouvais pas lui dire la vérité. Je me suis couchée sans manger, sans dire « bonne nuit » à personne, j’avais une espèce de grosse boule dans le ventre.
	Le lendemain, après n’avoir dormi que très peu d’heures, je me lève, me prépare et me dirige à l’arrêt de car où m’attend bien évidemment Enzo. Je lui dis « bonjour » comme à mon habitude, c’est-à-dire, un énorme câlin accompagné d’un baiser et on monte dans le car. Durant le trajet, j’essaie d’être normal pour qu’il ne s’aperçoive de rien. Arrivé au lycée, il se dirige vers ses potes. Ouf, il n’a rien remarqué. Je me dirige vers Morgane et lui explique pour ma mère. Elle a été très compréhensive et m’a « autorisé » à le dire à ma mère, mais seulement à elle, pas à Enzo, ça allait être dur de lui cacher… La cloche sonne, la journée de cours se passe normalement, je suis énormément soulagée de pouvoir tout avouer à ma mère. La fin des cours arrive, je monte dans le car. La semaine se passa plutôt bien, le dernier jour des cours de la semaine, le vendredi, à la sortie Morgane m’attrapa par le bras avant que je monte dans mon car :
	Mo : Maëlle, j’ai fait mon test de grossesse.
	M : Et ?
	Mon cœur battait à cent à l’heure, j’avais peur pour elle. Morgane se tenait devant moi, raide, très raide, la bouche pincée. Allait-elle m’annoncer une bonne ou une mauvaise nouvelle ?
	Mo : Le test est…
MD.


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16/01/2013
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Chronique d'une ado: chapitre 1

ThatsInWilted-FlowersmovethatbodyPLLsourcelittle-E-S

Gwen est mon personnage imaginaire préféré (non je ne suis pas folle)! Aujourd'hui j'imagine sa journée d'ado pas comme les autres !!!

 

  Nom : Angel

                                         Prénom:Gwen

                                         Points particuliers: Je hait les tomates et les garces mêmes si j'en suis                                            une :p

                                         En deux mots: Swag me !

                                         Amies:Lilou,Nono,Estelle,Sophie.....

                                         Age:16 ans

 

Tout d'abord, dans le village où j'habite, on est peu de jeunes de mon âge. Alors on forme un peu des "clans" dans le village. On s'entend tous super bien, mais voila quoi :ya l'esprit de compétitivité. Nous nous somme le "haut". Comment dire, les populaires ? Nous contrôlons le lycée et avons tous un style bien particulier. Donc pour commencer, il y a Erwan le plus âgé et le plus mignon de notre groupe, il vient tout juste d'avoir ses 30 ans.Mon plus grand rêve? Sortir avec lui! Ensuite Peter et Matthieu qui sont très mignons eux aussi mais plutôt au goût de Sophie et Estelle. Ha! Et puis j'oubliais Mark et Harry les "les inséparables". ON se demande même si ils ne sont pas gay! C'est tout pour les garçons. Maintenant en fille il y a Liwane, ma meilleure amie, elle a 16 ans. Après la plus jeune du groupe est Noémie, elle a 14 ans elle râle souvent comme quoi c'est la plus petite en âge mais aussi en taille (elle mesure environ 1m50 et nous autres entre 1m60 et 1m80) elle nous fait souvent rire sur ce sujet la.Sans oublier Sophie et Estelle deux fashion victim completement dérangées. Et pour finir il y a moi. Aujourd'hui comme tout les mercredis après-midi, on sort tout les 9 en ville. Le trajet en bus dure environ une demi heure, et ce jour-là, Sophie m'a fait une grande révélation, aujourd'hui elle m'a dit mot pour mot:
- Gwen, il faut vraiment que je te dise quelque chose...
- Vas y dit moi, je t'écoute.
- Tu ne dis rien a personne, même pas aux  autres du groupe...
- Mais oui, t'inquiète pas , je t'écoute !!
- Tu sais quand tu m'as dit que mon comportement avait changer et que j'était.....comme si j'affectionnait quelqu’un trop fort..... 
- Oui...Et c'est qui?
- ...un garçon...
- T'aime quelqu'un?!
- Chut! Pas si fort ... et oui j'aime quelqu'un depuis un petit moment maintenant.
- Et pourquoi tu ne m'en a pas parler avant?
- Parce que je voulais être sur de moi avant de t'en parler....
- Bon ok! Mais comment tu sais que tu l'aime !? ça t'as fait ça paf d'un coup dans la tête?
- Dès que je le vois sourire je sourie, dès que je lui parle je deviens 'folle' à l'intérieur de moi et rien que le regarder je rougie...C'est bien et mal en même temps !!!!!
- Et ben... on peut dire que quand t'aime quelqu'un tu fais pas semblant...MDR.
Alors c'est qui ?!
- Et bien en fait il s'agit d'Harry! 

 

Photo : Chapitre 62 
	Elle n’eut pas le temps de contester. Je suis partie le chercher et nous sommes partis tous les quatre en direction de l’hôpital. 
	Dans la voiture, je voyais le regard interrogateur de Julian. Le pauvre, il ne comprenait rien à ce qui se passait.  Il essayait d’avoir des réponses dans le regard de Morgane, de comprendre ce qui n’allait pas. De comprendre pourquoi elle posait ses mains sur son ventre et gémissait de douleur. Il essayait de comprendre sans oser poser de questions. Arrivé à l’hôpital, Enzo et Julian tenait fermement Morgane pour qu’elle évite de tomber si son ventre lui faisait trop mal. 
	Dès que nous avons pénétré dans l’établissement, j’ai directement stoppé un médecin qui passait au même moment, je lui ai expliqué la situation et il a directement prit en charge Morgane malgré le patient qui l’attendait. Quant à nous trois, nous sommes partis nous installer dans des sièges pour attendre. Cette fois-ci, Julian osa poser des questions.
	J : Qu’est-ce qui lui arrive ? Pourquoi elle se tient la ventre ? Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi on est ici ? C’est grave ?
	M : Héééééééé, Julian, calme toi. 
	J : Oui, c’est vrai. Mais…Mais tu sais, c’est Morgane, je m’inquiète pour elle…
	M : Et en quoi le fait que ce soit Morgane te préoccupe tant ?
	J : Eh bien… Parce que Morgane, bah… Je suis amoureux d’elle. Voilà, c’est dit !
	M : T’es sérieux ?
	J : Oui.
	A l’intérieur de moi-même j’étais tellement heureuse pour Morgane. Elle méritait vraiment un garçon aussi doux, gentil, attentionné. C’était une fille bien, et savoir que le garçon qui lui plait, et je pense le garçon pour lequel elle éprouve quelques sentiments, s’intéresse à elle, éprouve les mêmes sentiments qu’elle, c’était tout simplement merveilleux ! Elle allait enfin pouvoir être heureuse avec quelqu’un qui, je suis sûre la respecterait. Mais je fus vite ramenée à la raison quand Julian insista pour obtenir des réponses à ses questions… Ah oui, j’avais oublié ce détail : le bébé ! Il était sûrement un petit-ami génial, mais était-il prêt à assumer le rôle d’un père ? Il a beau l’aimer, cette situation peut faire fuir n’importe quel homme. D’autant plus qu’il ne la connait pas depuis spécialement longtemps, qu’il n’a pas beaucoup eu le temps d’être « vraiment » attaché et amoureux d’elle. Je ne sais pas du tout comment il va réagir. Peut-être qu’il va partir furieux que Morgane ne lui ai rient dit, peut-être qu’il ne va plus vouloir entendre parler d’elle ou peut-être qu’il va rester auprès d’elle pour la soutenir, c’est ce que j’espère de tout cœur. Mais, était-ce à moi de tout lui dire ? De toute façon, il était trop tard, Julian m’assaillait de ses questions et il était déterminé, il ne lâcherait pas l’affaire sans avoir de réponses.
	J : Bon, Maëlle, dis-moi ce qui se passe !
	M : Eh bien… Heu…
	Je ne savais pas comment lui dire la vérité. « Eh bien, Morgane est enceinte. » : non, trop direct. « Heu…Morgane a été violée et par la suite, elle est tombée enceinte, et nous sommes ici parce qu’elle a eu des douleurs pendant le bal. » : ça peut être pas mal. Mais, il faut que j’explique mieux, sinon, je vais avoir droit à des questions pour des précisions, autant tout dire d’un coup. Bon, je me lance.
	M : Alors, en fait…tu vois, heum…
	J : Bon Maëlle dépêche-toi ! 
	E : Hééé Julian, calme-toi, arrête de t’énerver sur Maëlle, c’est pas facile à dire.
	J : Oui, désolé.
	M : Bon alors en fait… Au bal dernier, Morgane avait proposé à son cavalier de la soirée de dormir chez elle, sans aucuns sous-entendus bien sûr. Elle a refusé toutes avances mais l’homme l’a forcé et l’a …violé. 
	Dès que j’eu prononcé ce mot, je vis le visage de Julian se tordre de colère.
	J : Quoi ? Mais qui lui a fait ça ? Qui c’est ce salop ? Mais on ne fait pas ça à une femme putain !
	Il était rentré dans une colère noire ! 
	M : Calme-toi, je n’ai pas fini. Ensuite, elle s’est rendue compte, qu’elle était enceinte. Et au bal, elle a eu des douleurs, c’est pourquoi nous sommes ici. 
	J : Oh… Je…Je…
	Il était vraiment sous le choc. Dans sa tête, ça devait être le bazar. La femme pour laquelle il a des sentiments, est enceinte, à 15 ans et violée. Je sais, je lis sur son visage qu’il aurait aimé la connaître plus tôt, qu’il aurait aimé la protéger. Il mit ensuite sa tête dans ses mains et ne prononça plus aucuns mots. Je regardais Enzo, cherchant un visage rassurant, une parole rassurante, quelque chose qui pourrait me rassurer d’avoir fait le bon choix en lui avouant toute la vérité. En un regard, il avait compris mon inquiétude. Il hocha la tête comme pour me dire que j’avais fait le bon choix. Je lui acquiesçai un sourire. Puis, Julian releva la tête.
	J : Vous savez, ça m’atteint vraiment. Je me sens vraiment concerné dans l’histoire de Morgane. Je sais ce que c’est. Eh oui. Je suis extrêmement proche de ma mère, on se dit tout, et il y a quelques temps, quand j’ai eu l’âge de comprendre, elle m’a avoué que si je n’avais pas de père, ce n’était pas parce qu’il était mort. Elle m’a dit qu’un soir, en rentrant chez elle, elle avait été agressé par deux hommes. Ils l’ont emmené dans un recoin éloigné de sa maison et l’on violé. Elle n’avait que 17 ans à l’époque ! Elle m’a dit à quel point c’est humiliant, à quel point elle avait honte et que maintenant, elle accordait difficilement sa confiance aux hommes. J’étais révolté, comment peut-on avoir le plaisir de faire ça ? Pourquoi on ne laisse pas les femmes tranquilles ? Leur corps leur appartient, aucun homme n’a le droit d’en abuser ! Ensuite, tout comme Morgane, elle s’est rendue compte qu’elle était enceinte. Il était trop tard pour avorter mais heureusement qu’elle a pu compter sur le soutien de sa famille. Et, elle m’a eu. Bien qu’aujourd’hui elle ne regrette pas du tout de m’avoir eu, elle m’a avoué qu’elle a douté et hésité à me garder. Et aujourd’hui, je suis fière de l’avoir comme mère, je suis fière d’avoir une mère qui s’est battu pour moi, qui a assumé sa grossesse sans jamais baisser les bras devant les insultes, les moqueries des gens qui n’avait pas conscience de son histoire. Je sais pourquoi tu as hésité à tout me dire Maëlle. Tu ne savais pas si j’allais rester auprès de Morgane malgré les sentiments que j’ai pour elle. Eh bien si ! Je vais y rester. Elle a, je crois, les mêmes sentiments que moi, elle a réussi à refaire confiance à un homme, cet homme, c’est moi, alors non, je ne la lâcherais pas. Les hommes qui font ça me révoltent, elle ne mérite pas ça, elle a la droit d’être aimé et c’est moi qui vais lui donner tout l’amour dont elle a besoin. 
	J’étais fasciné par sa réaction, par son histoire. J’étais tellement heureuse que Morgane soit tombée sur ce gars-là.  Ensuite, je lui ai donné plus de détails. Les péripéties avec la mère de Morgane, le fait qu’elle consulte un psy pour aller mieux, etc…
	Mais nous fûmes interrompus par le retour du médecin qui nous annonça… 


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16/01/2013
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