reves-et-poussieres

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Chronique d'une ado: chapitre 3

 

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-Pourquoi tu t'est barrer ? tu l'aimais non ?
Et oui, contre toutes attentes je suis partie sans demander mon reste. Je sais c'est débile et complètement inconscient mais c'est comme ça.
-Je sais pas lilou (Liwane). Il m'a avouer ses sentiments comme ça sincèrement, ses yeux plonger dans les miens. Tu voulais que je fasse quoi ?
Arrête !!! Je te connaissait plus courageuse !
-Excuse moi mais j'ai un double appelle je te rappelle dans 5 minutes !
Sur ce je raccroche et repond a l'autre appelle.
-Allô ?
-Gwen laisse moi te parler ! S'il te plait !
Ooups ! C'était Erwan !
-Oui !
J'ai réussi à garder mon calme ! XD
- Face à face je suis devant chez toi. Descend please !
Je regarde par la fenêtre et le voit avec un paquet de barre aux chocolats dans la main. Mes préférés ! Arriver en bas on se regarde longuement, puis il s'approcha de moi, me prit dans ses bras et me dit "je t'aime". C'était si beau si fragile si fort ! Mon monde renaissait. L'homme que j'aimais avait les mêmes sentiments pour moi ! Alors je lui répondit "moi aussi depuis toujours !"
Et puis se qui devait arriver arriva: il m'embrassa !!!!!
Photo : Chapitre 21 :
	Il m’a regardé, il m’a souris et il m’a dit :
	E : Maëlle, je t’aime.
	C’était la première fois qu’il me disait LE «  je t’aime », celui qui signifie tout, celui qui montre que je suis l’élue de son cœur, il me restait plus qu’à lui avouer la même chose.
	M : Enzo, je t’aime.
	Son visage s’est illuminé, sa bouche s’est élargie en un sourire magnifique et il m’a embrassé avec une grande passion. Ensuite, on a parlé, on a joué aux « chatouilles ». Il m’a chatouillé sur le côté au-dessus des hanches, les dessous de pieds… Et j’ai fait de même. On bougeait dans ton les sens dans le lit, à droite, à gauche, jusqu’à ce que, je ne sais pas comment il a fait, Enzo se retrouve au-dessus de moi, son corps sur le mien. Il m’a observé longtemps, ses yeux verts plongés dans les miens, puis ses lèvres sont venues se coller aux miennes, ce baiser dura longtemps, très longtemps. On était tellement bien que quand il enleva ses lèvres, j’agrippai son dos et plaqua son torse contre le mien pour qu’il m’embrasse à nouveau, ce qu’il fit sans hésiter. Puis il s’enleva et on se remit face à face. Je commençais à m’endormir. Je fermai les yeux et j’entendis une voix me chuchoter à l’oreille :
	E : Bonne nuit mon ange.
	Et il me déposa un baiser sur le front et m’enlaça, je finis de sombrer dans le sommeil dans ses bras.
	Le lendemain, quand je me suis réveillée, je me suis demandée où j’étais. Je n’avais pas l’habitude de me réveiller ici. J’ai tourné la tête et j’ai vu Enzo. Je n’étais plus dans ses bras, je bouge beaucoup la nuit. Lui, est installé sur le dos et dort encore. J’ai donc une idée. Je me mets sur le côté gauche, je plie mon bras, je m’appuie dessus et je pose ma tête sur ma main. Puis, j’approche ma main droite de son torse et je déplie mon index pour le faire glisser le long de la ligne qui sépare ses pectoraux en continuant sur la ligne horizontal de ses tablettes de chocolat. Je descends mon index, puis je le remonte. Je suis absorbée par mon doigt et je n’ai pas vu Enzo se réveiller. Il me prend donc par surprise, me pousse de façon à ce que j’arrive sur le dos et atterrit sur moi, sur mon corps. Il me regarde fixement et j’en profite pour le prendre par surprise à mon tour, je l’allonge sur le dos et je me mets sur son corps. Avant qu’il ait pu tenter quoi que ce soit pour se débattre ou attaquer, je l’ai embrassé. Ce baiser était fougueux, bestial même. On y mettait tous les deux une intensité, une envie folle. Puis au moment où je m’y attendais le moins il m’a retourné sur le dos et est arrivé sur moi, mais l’on n’avait toujours pas arrêté le baiser. En continuant toujours notre baiser, on a effectué quelques roulades de ce genre et la dernière est tombée : lui sur moi. Au moment où il a voulu retiré ses lèvres, j’ai agrippé les siennes avec mes dents, il était coincé ! Il a essayé de parler, je n’ai rien compris, c’était tellement drôle, il avait tellement de mal. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire et j’ai donc lâché sa lèvre. Il s’est relevé et s’est retrouvé assis sur moi, il touchait sa lèvre et moi je riais encore. Il a vu que je continuais à rire, il s’est penché sur moi, a pris mes poignets, les a plaqués sur le matelas, a approché sa tête de la mienne et il m’a embrassé. Au moment d’enlever ses lèvres, il a agrippé les miennes avec ses dents, ça faisait légèrement mal. Ensuite, il a desserré ses dents et il m’a déposé un léger baiser sur le coin de la lèvre. Ensuite, avec un grand sourire, il m’a dit :
	E : Bonjour !
	M : Bonjour !
	E : Je vais me laver, regarde la télé si tu veux.
	M : Ok.
	Il est parti prendre sa douche et j’ai regardé la télé, puis j’ai regardé l’heure, il était midi, je ne devais pas trop tarder pour rentrer. Je me suis rhabillé et j’ai continué à regarder la télé en attendant Enzo. Puis, j’ai entendu le bruit d’une porte qui s’ouvre, il sortait de la salle de bain. Et là, il a passé le seuil de sa porte de chambre. Il était magnifique ! Il avait les cheveux mouillés, légèrement en pétard. Encore pas tout à fait sec, l’eau ruisselait sur son torse, faisait le détour par ses tablettes de chocolat. Une serviette était autour de sa taille. Et il entrait dans sa chambre comme ça, avec le sourire aux lèvres, ses dents magnifiquement blanches, ses yeux verts pétillant de bonheur et de joie me regardaient. Je lui souris. Je me levai, et me dirigea vers lui.
	M : Je dois y aller.
	E : Déjà ?
	M : Oui…
	E : Ok, je m’habille et je te raccompagne.
	M : D’accord.
	Il s’est habillé et on est partis, main dans la main, direction de ma maison.
	E : J’ai beaucoup aimé hier soir, cette nuit et ce matin avec toi.
	M : Moi aussi, énormément.
	E : Cet après-midi, on peut se voir ? 
	M : Oui.
	E : 15H ?
	M : Ca marche !
	On était arrivé chez moi. Je plaçais mes deux bras autour de son cou, appuyé sur ses épaules. Je pris mon poignet droit avec ma main gauche. Quant à lui, il entoura ma taille de ses bras. Il me regarda et il m’embrassa avec une grande tendresse. Puis, il partit et je rentrai chez moi. Ma mère est là et me demande comment ça s’est passé et si on était ensemble, je lui ai dit que « oui », et je suis monté dans ma chambre. Un peu avant 15H, je regarde par la fenêtre pour voir Enzo arriver. Je regarde une fois, deux fois, trois fois. A 15H15, il n’est toujours pas là, je l’attends. Puis, enfin il arrive. Il sonne, j’ouvre et on part direction le parc, main dans la main.
	E : Désolé d’être en retard, je, j’ai, j’étais..occupé.
	M : T’inquiète pas, tu faisais quoi ?
	E : Heu… Rien d’important.
	M : Beh dis-moi !
	E : Non, non, mais rien. Dis, tu vas au voyage scolaire en Espagne que propose le lycée ?
	M : Ouais, change de sujet… Oui, et toi ?
	E : Oui, ça va être cool !
	M : Oui.
	E : Tiens, on va s’asseoir sur ce banc.
	On va s’asseoir et là, gros choc…
MD.


La suite dans le prochain chapitre! Si t'as aimé, cliques sur j'aime et commente (:
                     
 
   
 
 


18/01/2013
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